Cultiver ses légumes, soi-même en ville, coûte moins cher et procure des aliments exempts d'OGM et de pesticides. Sans compter que cela permet de réduire les émissions de GES liées au transport des aliments. Un guide nous en dit davantage.
Écrit par une étudiante en communication et en politique à l’Université de Sherbrooke en collaboration avec les AmiEs de la Terre de l’Estrie, un nouveau guide intitulé L’agriculture urbaine à la portée de tous entend démystifier cette culture et la raprocher du commun des mortels.
Le guide identifie les semences qu'il est possible de faire pousser et explique quels sont les contenants à utiliser, parmi les pots en terre cuite, pots suspendus, bacs de recyclage ou sacs de jute afin de faire pousser ses plants et légumes. On y trouve également des recettes d'insecticides naturels.
Davantage que des fleurs
«Les gens doivent cesser de croire que les plates-bandes sont réservées aux fleurs!», a dit André Nault, président des AmiEs de la terre de l’Estrie.
Le guide de 12 pages peut être téléchargé à l'adresse suivante: http://www.portail.atestrie.com/images/guide.pdf.