Les Rays de Tampa Bay à Montréal : un cadeau empoisonné, dit un économiste

Publié le 12/12/2013 à 13:18

Les Rays de Tampa Bay à Montréal : un cadeau empoisonné, dit un économiste

Publié le 12/12/2013 à 13:18

Par Marc Gosselin

Un risque de change atténué

Au début de la dernière saison des Expos, en 2004, le dollar canadien valait 77 cents américains. Une décennie plus tard, le huard vaut 94 cents US. Une équipe de baseball à Montréal serait-elle moins exposée au risque de change qu’il y a 10 ans ?

Oui, répond sans hésiter Sylvain Vincent, d’Ernst & Young. « Dans nos hypothèses de travail, les sommes reçues en dollars américains des droits de diffusion et de la redistribution des revenus du baseball majeur défraiera en très grande partie la masse salariale de 75 M$ US, qui correspond à la moyenne des majeures. »

M. Vincent rappelle que les revenus de droits de diffusion n’étaient pas aussi élevés il y a 10 ans. Même chose pour la redistribution des revenus, qui était inexistante, ajoute-t-il.

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