Fort d’une flotte de 24 turbopropulseurs de Bombardier, le président de Porter se dit aujourd’hui beaucoup moins préoccupé par le financement de sa croissance, chose qu’elle parvient aujourd’hui à faire à même ses revenus d’exploitation.
Une porte entre-ouverte
Cela dit, Robert Deluce ne ferme pas complètement la porte au recours futur des marchés boursiers. En particulier s’il survenait un changement important dans le marché.
«Nous regarderions alors ce qui se présente à nous. On ne sait jamais, ce que nous réserve le futur. Peut-être aurons-nous d’autres besoins que nous connaissons pas actuellement.»