Bombardier Aéronautique a vu ses revenus fléchir de 13%. Ils se sont établis à 2G$ US, contre 2,3G$ US au troisième trimestre l’an dernier. Ceux de Bombardier Transport ont cependant progressé, passant de 1,9G$ US à 2,1G$ US.
La marge bénéficiaire avant intérêts et impôts a diminué au sein des deux divisions. Elle est passée de 5,2% à 4,3% au sein de la division Aéronautique, et de 6,3% à 6% au sein de la division Transport.
En cours de journée, l'analyste Cameron Doerksen, de la Financière Banque nationale, a revu à la baisse son évaluation du titre, le faisant passer de «surperformance» à «performance de secteur» et en diminuant sa cible, de 5,50$ à 5,00$. À la clôture, ce mercredi, l'action de Bombardier se négociait à 4,74$, après une dégringolade de 0,54$ ou 10,23% à la Bourse de Toronto.