«J'aime conserver mes véhicules au moins 10 ans» - Dave Laveau, directeur général de Tourisme Autochtone Québec


Édition du 15 Août 2015

«J'aime conserver mes véhicules au moins 10 ans» - Dave Laveau, directeur général de Tourisme Autochtone Québec


Édition du 15 Août 2015

Par Claudine Hébert

La garantie de 10 ans (ou de 160 000 km) sur le groupe motopropulseur de la Outlander de Mitsubishi a été un facteur clé dans la décision d’achat de Dave Laveau. [Photo : Françis Vachon]

Dave Laveau doit visiter une vingtaine de communautés autochtones chaque année, dont quelques-unes sont desservies uniquement par des chemins de terre. Le directeur général de Tourisme Autochtone Québec apprécie donc être au volant d'un véhicule utilitaire sport (VUS), un Outlander Mitsubishi 2010 muni de quatre roues motrices.

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Les Affaires - Pourquoi ce modèle VUS ?

Dave Laveau - D'abord, j'apprécie l'espace intérieur. Deux enfants en bas âge, ça exige de la place pour les bagages, les poussettes... J'aime aussi son look qui allie robustesse et lignes tout en finesse. Et j'adore surtout la garantie de 10 ans (ou de 160 000 km) sur le groupe motopropulseur. Il s'agit d'une des meilleures protections de l'industrie automobile. Cet élément de fiabilité a joué un rôle majeur dans la décision d'achat.

L.A. - Vous aimez conserver vos voitures longtemps, n'est-ce pas ?

D.L. - En effet, ma conjointe et moi aimons garder nos véhicules au moins 10 ans. Outre le VUS, nous avons également une Honda Civic 2003 qui affiche près de 170 000 km. Bien qu'elle soit encore très fiable, on commence à magasiner pour la remplacer. Ce sera sans doute encore une Honda, mais on regarde aussi du côté de Mazda. Une chose est sûre, ce sera une autre voiture économique. On aime pouvoir s'échanger nos deux modèles de véhicules selon nos types de déplacements quotidiens.

L.A. - Quel gadget vous fascine le plus à bord de votre VUS ?

D.L. - Ce modèle dispose d'un sélecteur de traction qui permet de choisir entre les modes deux roues ou quatre roues motrices. Je trouve cette option très pratique et économique.

L.A. - Combien de kilomètres parcourez-vous chaque année ?

D.L. - Mon travail m'amène à parcourir près de 30 000 km par an. Ce sont principalement des allers-retours entre mon bureau situé à Wendake [en banlieue de Québec] et Montréal, ainsi que les communautés autochtones établies au Québec. Je vais aussi une fois par année sur la Côte-Nord. Il y a deux ans, j'ai même roulé jusqu'à la Baie-James, la route qui mène à Radisson, afin de visiter quelques-unes des pourvoiries et des entreprises membres de notre réseau.

L.A. - Quels sont les plus belles routes, les plus beaux trajets que vous avez parcourus ?

D.L. - Il y en a au moins trois. Le premier est justement mon périple en direction de la Baie James. Je voulais effectuer ce voyage en voiture pour mieux comprendre la réalité de nos communautés qui vivent à de très grandes distances des grands centres. Je voulais comprendre, et surtout vivre quels sont leurs réels défis en matière d'approvisionnement. J'ai eu l'occasion de rouler sur la route de la Baie James et sur la Transtaïga, un tronçon qui relie la route de la Baie James au réservoir Caniapiscau, dans le Nord-du-Québec. Ces routes en gravier qui s'étendent sur des centaines de kilomètres permettent d'observer les changements de végétation. Plus on avance vers le nord, plus la taille des arbres diminue. C'est fascinant. Et ce l'est encore plus lorsque les troupeaux de caribous se joignent au paysage.

L.A. - Quel est le deuxième trajet ?

D.L. - J'ai l'occasion de me rendre chaque année dans les communautés innues, dont celle de Ekuanitshit, près de Havre-Saint-Pierre. Un vrai bonheur de pouvoir rouler sur la route 138 qui traverse la Côte-Nord. En plus de longer le fleuve Saint-Laurent sur plusieurs parties, cette route nous plonge au coeur de multiples petits villages nord-côtiers qui évoluent loin du brouhaha urbain.

L.A. - Et enfin, quel est le troisième trajet qui vous a le plus marqué ?

D.L. - De 2006 à 2008, ma conjointe et moi avons habité à Bexhill-on-Sea, au Royaume-Uni. Ce séjour professionnel chez les Britanniques, de l'autre côté de l'Atlantique, nous a permis de découvrir les charmantes routes de campagnes anglaises qui longent la Manche. À bord de notre Peugeot 407, on profitait d'ailleurs de la plupart de nos week-ends pour se rendre à Brighton, à moins de 60 minutes de notre résidence.

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