En septembre 2013, il a créé la China (Shanghai) Pilot Free Trade Zone dans la métropole chinoise, où la Chine expérimente plusieurs réformes économiques en finance, en transport et en logistique.
Toutefois, 15 mois après sa création, cette zone de libre-échange n'aurait pas répondu aux attentes des investisseurs, rapporte le Financial Times.
Selon certains d'entre eux, s'implanter dans le périmètre de 29 kilomètres carrés à Shanghai ne procurait presque pas davantage pour les entreprises chinoises et étrangères.
C'est aussi sans doute pourquoi le gouvernement chinois souhaite pousser encore plus loin les réformes économiques dans ces trois nouvelles zones, et ce, afin de développer l'activité manufacturière. Par exemple, la Qianhai Special Zone à Shenzhen pourrait inclure Hong Kong et Macao.
Cette stratégie des autorités chinoises permettrait d'accélérer l'intégration de ces deux anciennes colonies - la première britannique, la seconde portugaise - à l'économie de la Chine continentale.