Raymond James réitère une recommandation «performance de marché».
La société annonce la vente de sa division pâtes et papiers à ses actionnaires de contrôle, Laurent et Richard Verreault pour 65 M$.
Frederic Bastien note que la transaction survient à 6,1 fois le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement (BAIIA) moyen des cinq dernières années, mais à 4,8 fois son anticipation de bénéfice à venir. Il estime que la famille Verreault fait une bonne affaire.
L’analyste ne croit pas qu’une offre plus élevée survienne dans les prochains jours, la division ayant jusqu’à maintenant été offerte depuis un certain temps.
Il voit la vente positivement, en ce qu’il ne restera plus dans la société que la division eau Ovivo, ce qui fait de l’entreprise un « pure play ».
Monsieur Bastien estime cependant que la vente n’élimine pas le besoin de cette division de se restructurer. Il évalue qu’Ovivo se négocie actuellement à 8,8 fois les BAIIA, ce qui n’est que légèrement sous la valeur des comparables dans le traitement des eaux (9,1 fois).
La cible est maintenue à 3,50$.