Les politiciens ne doivent plus s'occuper du climat

Publié le 26/09/2018 à 09:56

Les politiciens ne doivent plus s'occuper du climat

Publié le 26/09/2018 à 09:56

Une maison endommagée par un ouragan (source: Getty Images)

BALADO - On ne confie pas aux politiciens la gestion de la politique monétaire, car ils manquent d'indépendance pour prendre les décisions qui s'imposent afin de stabiliser les prix et l'économie. Pourquoi confions-nous alors aux politiciens la responsabilité de déterminer et de faire respecter les cibles de réductions de gaz à effet de serre (GES), alors que nous vivons une crise écologique mondiale qui nécessite des mesures très ambitieuses, voire draconniennes ? Dans ce contexte, la Banque du Canada pourrait bien être un modèle à suivre pour lutter contre le changement climatique.

Approfondir ce sujet avec l’analyse géopolitique de notre journaliste François Normand.

 

À propos de ce blogue

Dans son analyse Zoom sur le monde, François Normand traite des enjeux géopolitiques qui sont trop souvent sous-estimés par les investisseurs et les exportateurs. Journaliste au journal Les Affaires depuis 2000 (il était au Devoir auparavant), François est spécialisé en commerce international, en entrepreneuriat, en énergie & ressources naturelles, de même qu'en analyse géopolitique. François est historien de formation, en plus de détenir un certificat en journalisme de l’Université Laval. Il a réussi le Cours sur le commerce des valeurs mobilières au Canada (CCVM) de l’Institut canadien des valeurs mobilières et il a fait des études de 2e cycle en gestion des risques financiers à l’Université de Sherbrooke durant 15 mois. Il détient aussi un MBA de l'Université de Sherbrooke. François a réalisé plusieurs stages de formation à l’étranger: à l’École supérieure de journalisme de Lille, en France (1996); auprès des institutions de l'Union européenne, à Bruxelles (2002); auprès des institutions de Hong Kong (2008); participation à l'International Visitor Leadership Program du State Department, aux États-Unis (2009). En 2007, il a remporté le 2e prix d'excellence Caisse de dépôt et placement du Québec - Merrill Lynch en journalisme économique et financier pour sa série « Exporter aux États-Unis ». En 2020, il a été finaliste au prix Judith-Jasmin (catégorie opinion) pour son analyse « Voulons-nous vraiment vivre dans ce monde? ».

François Normand