La diversification de la devise
La deuxième source de diversification d'une telle approche provient évidemment le taux de change entre le dollar américain et le huard canadien.
« L’histoire boursière a démontré que lors des corrections boursières, le dollar américain s’apprécie plus souvent qu’autrement. Pour un investisseur canadien, la chute des cours américains est donc amortie partiellement par la hausse du dollar américain (qui gonfle les rendements une fois convertis en dollars canadiens).
La récente correction n’a pas fait exception. Le recul de 5 % du S&P 500 entre le 1er juillet et le 25 octobre a été entièrement compensé un recul équivalent du huard, rappelle M. Roberge.
De quoi a l’air le point de départ sectoriel d’un portefeuille nord-américain d’actions, une fois le jumelage des pondérations des dix secteurs secteurs arrondies ?
Énergie : 10 %
Matériaux : 5 %
Industrie : 10 %
Consommation discrétionnaire : 15 %
Consommation de base : 10 %
Santé : 10 %
Finance : 15 %
Technologie : 15 %
Télécommunications : 5 %
Services aux collectivités : 5 %
Qu’accomplit-on avec un tel squelette ?