Deux risques : répétition de 1994 ou de 1987
Le meilleur scénario dans les prochains trimestres serait une répétition du début des années 1960, qui a vu les actions et le rendement des obligations augmenter en tandem.
Il est toutefois peu probable que la transition des obligations aux actions s’effectue en douceur, reconnaît M. Harnett.
Si la vigueur de l’économie surprenait et qu'il se créait 300 000 emplois et plus par mois, on pourrait connaître une hausse rapide des taux et une chute des obligations, comme en 1993-1994.
Ou encore, une réelle guerre des devises pourrait faire grimper les taux et provoquer une chute, à l’image de 1987.
Une remontée trop rapide du pétrole pourrait aussi faire tomber les cours.