Afin d'y parvenir, Rogers étudie le genre de communications qui se pratiquent sur son réseau.
Les opposants à cette politique affirment que ce genre de surveillance est l'équivalent d'une invasion de la vie privée. Ils craignent aussi que les entreprises utilisant cette technologie favorisent leurs propres services et leurs propres sites.
Le vice-président de Rogers, Ken Engelhart, assure que l'entreprise n'a aucune idée de l'identité de ceux qui partagent leurs fichiers, en ignore le contenu et ne gère pas le trafic sur le réseau afin d'en faire profiter ses propres services.