L'industrie minière veut briser les clichés au Québec

Publié le 22/10/2010 à 09:00, mis à jour le 22/10/2010 à 09:04

L'industrie minière veut briser les clichés au Québec

Publié le 22/10/2010 à 09:00, mis à jour le 22/10/2010 à 09:04

" Nous avons un enjeu de communication important, estime Mme Renauld, 47 ans. Qui sait par exemple qu'il existe un fonds, le Fonds Restor-Action Nunavik, pour réhabiliter tous les sites miniers abandonnés ? Qui sait que, depuis 1993, il faut déposer un plan de fermeture de la mine avant de commencer son exploitation, et déposer en garantie 70 % des coûts de restauration ? Et qu'il y a un projet de loi (79) pour augmenter cette proportion à 100 %, projet qu'approuve l'industrie ? "

Des besoins de main-d'oeuvre

L'objectif de mieux se faire connaître vise aussi à attirer des jeunes dans ce secteur en forte croissance qui s'achemine vers une pénurie de main-d'oeuvre.

" Il faut que les jeunes sachent que le salaire moyen dans l'industrie minérale est de 42 % supérieur au salaire moyen, que nous sommes respectueux de l'environnement et que nous sommes maintenant une industrie de très haute technologie. "

L'industrie minière aimerait bien aussi augmenter le recrutement de femmes, qui représentent 14 % de la main-d'oeuvre.

 

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