Le pouvoir politique dans les organisations est considéré à tort comme un facteur parasitaire, affirme Gérard Ouimet, professeur à HEC Montréal.
Pour mieux juger de son efficacité et de son caractère éthique, il faut en comprendre la nature, la dynamique et les mécanismes d'influence. À travers le prisme de la psychologie humaine, l'auteur fait ressortir l'exercice positif de ce pouvoir et démontre comment les habiletés politiques peuvent aider le gestionnaire à maîtriser l'influence situationnelle des autres.
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