Où fait-il bon travailler aux États-Unis ?

Publié le 01/02/2011 à 10:50, mis à jour le 03/02/2011 à 12:10

Où fait-il bon travailler aux États-Unis ?

Publié le 01/02/2011 à 10:50, mis à jour le 03/02/2011 à 12:10

Par Olivier Schmouker

La ville des Sharks arrive en tête du palmarès. Photo : DR.

Le site Web d’emploi CareerBliss s’est demandé dans quelle ville américaine les employés étaient le plus heureux. Pour cela, il a analysé quelque 700 000 données sur les principales villes des Etats-Unis et a dressé le palmarès des 50 villes les plus attrayantes sur le plan de l’emploi. Résultat : San Jose, en Californie, arrive en tête. Suivent respectivement San Francisco (CA), Jacksonville (FL), Miami (FL) et Washington (DC).

Plusieurs critères ont été retenus pour établir ce palmarès, dont le salaire, l’avancement professionnel, le management, la sécurité d’emploi et le fait que les employés recommanderaient ou non leur ville à d’autres pour y travailler. San Jose arrive en tête de presque tous les critères, en particulier en matière de salaires et d’équilibre entre le travail et la vie de famille.

Et les mégapoles? Los Angeles (CA) arrive au 8e rang, se distinguant surtout pour l’équilibre entre le travail et la vie de famille, mais étant pénalisée par une piètre sécurité d’emploi. Et New York, au 14e rang seulement, parce que là aussi la sécurité d’emploi n’est pas élevée et parce que la progression professionnelle y est moins bonne qu’ailleurs.

En bas du palmarès, on trouve en tout dernier Saint-Paul (MN), puis Indianapolis (IN), Omaha (NE), Cleveland (OH) et Pittsburgh (PA). On remarque ainsi que les villes en tête et celles en queue de classement se distinguent clairement sur le plan météorologique : les premières présentent un climat généralement agréable, et les dernières, des hivers qui sont parfois difficiles. «C’est vrai, mais les données recueillies ne tenaient pas compte directement de ce facteur», indiquent les auteurs de l’étude.

Plus : Le palmarès de CareerBliss

À la une

Pierre Fitzgibbon: «Dans la filière batterie, on est rendu trop loin pour reculer»

00:00 | Les Affaires

Le superministre a rencontré «Les Affaires» en table éditoriale afin de préciser sa vision de la filière batterie.

Table éditoriale avec le PDG de Northvolt: des batteries «made in Québec» avec du contenu d'ailleurs

En table éditoriale avec «Les Affaires», Paolo Cerruti affirme qu'il faudra être patient.

Le coup de poker de la filière batterie

BILLET. À vous de juger si nous avons des chances de remporter la mise ou de perdre gros dans la partie.