Sa crainte est plutôt que la confusion autour du programme Achat Québec ne persiste. Ce programme, mis sur pied par Walmart, identifie en magasins les produits achetés d’entreprises ayant une place d’affaires dans la province. Cela ne garantit pas qu’il s’agit de produits fabriqués ou de légumes cultivés au Québec.
Or, selon un sondage effectué l’an dernier par l’UPA en collaboration avec le Conseil de la transformation agroalimentaire et des produits de consommation (CTAC), « les gens pensent qu’Achat Québec et Aliments du Québec c’est la même chose. Pourtant, ces deux programmes ne répondent pas aux même exigences », relate Aline Savary. Elle prévoit donc revoir les dirigeants de Walmart, qu’elle qualifie de « rusés » et « d ‘opportunistes » pour trouver une solution à ce problème.
Pour tout savoir sur la stratégie de Walmart au Québec et découvrir comment devenir un fournisseur, lisez l’édition du Journal les Affaires du 24 janvier au 4 février.