BLOGUE. Ce matin j’ai assisté à une conférence de l’Américain Jay Baer, auteur du livre « The now revolution » et consultant en médias sociaux.
Vous pouvez consulter ici le blogue, intitulé « Convince and convert » de monsieur Baer.
Alors que j’assistais à cet événement, organisé par la firme montréalaise Casacom, j’ai tweeté en direct quelques réflexions intéressantes du conférencier.
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À tous ceux qui ne sont pas branchés sur Twitter du tout, ou qui ne l’étaient pas entre 8 et 9 heures ce matin, j'offre un condensé de matières à réflexion. Suivra dans une semaine un article dans Les Affaires.
Donc, voici en vrac de quoi vous donner à réfléchir et.. passer à l'action.
1- Ne réunir que des VP dans vos comités de réflexion sur les médias sociaux est une erreur. Ce ne sont pas eux qui les utilisent.
2- Il existe deux sortes de changement en affaires : les changements de protocoles et les changements de paradigmes. Les médias sociaux appellent un changement de paradigme.
3- Avec les médias sociaux, chacun de vos employés se transforme en marketer pour votre entreprise. Il devient encore plus capital de ne recruter que des gens en qui vous avez confiance.
4- Toutes les compagnies, même les plus ennuyantes, ont des histoires à raconter qui vont intéresser certains publics.
5- C'est votre responsabilité de créer des sujets de conversation pour qu’on parle de votre entreprise.
6- Écouter ce qu’on dit de vous n’est que la première étape d’une implication dans les médias sociaux. Ce n’est pas cela « faire du média social »
7- Si vous avez peur de donner du pouvoir à vos employés vous ne pourrez jamais plonger dans l'univers des médias sociaux. Et, dites-vous bien que même si vous n’en faites pas, vos clients peuvent en faire pour vous et sans votre permission!
Je vous laisse sur cette question :
Votre entreprise a-t-elle une politique officielle, connue de tous et signée par tous, à propos de l’utilisation des médias sociaux?
Jay Baer a posé cette question ce matin et j’ai vu très très peu de mains se lever dans la salle. Voilà ce que j'appelle jouer avec le feu.
Lire ici ma chronique précédente
