5 raisons pour lesquelles on parlera encore plus d'impact en 2018

Publié le 21/12/2017 à 12:02

5 raisons pour lesquelles on parlera encore plus d'impact en 2018

Publié le 21/12/2017 à 12:02

Par Diane Bérard

Ce que je retiens de 2017 du point de vue de mon domaine de couverture?

L’emploi de plus en plus fréquent du mot «impact» dans le discours des gens d’affaires québécois.

L’univers de l’innovation sociale, que je couvre depuis cinq ans, l’utilise depuis longtemps déjà. C’est le moteur de ceux et celles qui cherchent des solutions durables aux grands enjeux de la planète. Cette préoccupation fait son chemin chez les organisations traditionnelles. Cela s’explique par plusieurs facteurs: la quête de sens des employés, le besoin de gagner l’adhésion sociale de la population, la nécessité de se différencier, la pression d’avoir une bonne histoire à raconter, etc.

Et si, au lieu de confier à un département (celui de la responsabilité sociale ou de la philanthropie) la tâche de réparer les dommages causés par le reste de l’organisation, on imaginait un modèle d’affaires qui génère un impact positif à travers les activités régulières?

Et on se demandait comment l’expertise de notre entreprise peut contribuer à régler des enjeux sociaux et environnementaux tout en générant des revenus récurrents?

C’est le concept d’impact appliqué aux affaires. Il s’agit de l’effet positif des décisions et des actions de l’organisation sur la société.

Comment cette idée d’impact évoluera-t-elle en 2018?

J’ai posé la question à trois intervenants qui appliquent ce concept au quotidien. Du Desjardins Lab: Clélia Cothier, connectrice sociale, et Ilias Be, catalyseur d’innovation ouverte. De Credo, Yann Pezzini, conseiller stratégique en impact social. Et j’y ai ajouté mes propres réflexions issues de mes lectures, rencontres et entrevues de l’année.

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