Si l’on ajoute le déficit actuariel du fonds de pension de Bombardier à sa dette, la dette nette de l’entreprise grimpe à près de 6,0 milliards $ et le ratio dette nette-profits d’exploitation monte à 4,0, un niveau plutôt élevé.
En somme, si l’on tient compte du déficit de son fonds de pension, le bilan de Bombardier recèle des risques. Si l’on conjugue ce risque à ceux de la conjoncture économique et au lancement de la série C, on peut comprendre pourquoi le titre de Bombardier n’a pas participé à la hausse récente des marchés boursiers.
Philippe Le Blanc, CFA, MBA
À propos de ce blogue : Philippe Le Blanc est gestionnaire de portefeuille chez COTE 100 ( www.cote100.com ) et éditeur de la Lettre financière COTE 100 ( www.lettrecote100.com ).