Le juge Arthur Gonzalez a donné son feu vert dimanche. Le plan de restructuration prévoit que la nouvelle entreprise émergeant de la procédure sera détenue à 55 pour cent par un fonds de pensions d'anciens salariés de Chrysler, 20 pour cent à Fiat qui pourra monter à 35 pour cent à terme, et à parts moindres par les gouvernements américain et canadien.
Chrysler, qui n'a pas trouvé d'accord avec ses créanciers pour restructurer sa dette de 6,9 milliards $ US, s'est placé sous la protection de la loi sur les faillites le 30 avril.