Selon les représentants de Greenpeace, Mme Normandeau a écouté attentivement leurs propositions visant la protection des forêts intactes du Québec.
Greenpeace suggère notamment un meilleur encadrement législatif pour la création d'aires protégées, l'adoption le principe d'aménagement écosystémique de la forêt, tel que le recommandait la commission Coulombe, et l'ajout de la notion de conservation dans le mandat du Forestier en chef.
L'organisme en a profité pour présenter les secteurs de la forêt québécoise qui, à son avis, représentent la plus grande valeur écologique et qui doivent être protégés en priorité.
Greenpeace croit que la balle est maintenant dans le camp de Mme Normandeau et espère voir l'apparente sympathie de la ministre se transformer en volonté législative de protéger les dernières forêts n'ayant jamais été exploitées commercialement.