Applications mobiles : un marché encore prometteur

Publié le 24/11/2010 à 00:00, mis à jour le 24/11/2010 à 10:25

Applications mobiles : un marché encore prometteur

Publié le 24/11/2010 à 00:00, mis à jour le 24/11/2010 à 10:25

Une application peut prendre la forme d'un service, comme celle de la SAQ, qui conseille les clients sur leurs achats. L'entreprise en tire profit, mais indirectement.

Le développement d'une application coûte de quelques dizaines à quelques centaines de milliers de dollars, précise Martin Demers, qui cite en exemple celui de Twitteriffic, un logiciel conçu pour accéder à Twitter sans passer par le Web. Sa mise au point aurait exigé 1 100 heures et a coûté 200 000 $ US. La facture pour l'application de Barack Obama est estimée entre 50 000 et 150 000 $ US. Selon le fondateur d'Aragosoft, les honoraires d'un développeur professionnel d'iOS (iPhone, Ipod touch et iPad) varient entre 100 $ et 250 $ l'heure.

IPHONE OU IPAD ?

Le développeur qui veut créer une application compatible avec le système d'exploitation des appareils mobiles d'Apple (iOS) doit-il viser le marché du iPhone ou celui du iPad ?

" Il existe des applications exclusives à chaque appareil et des applications universelles, qui fonctionneront pour les deux, précise Martin Demers. L'inconvénient, quand on offre une application universelle, c'est qu'elle ne permet pas de fixer des prix différents pour les deux plateformes. Il en est de même pour iPhone et iPad. Pour l'instant, le nombre d'appareils iPhone est de loin supérieur au nombre d'iPad, mais la tablette a un avantage majeur : elle offre des applications plus élaborées grâce à la taille de son écran . "

Marché professionnel

L'iPad présente un autre avantage, selon Martin Demers. Il ouvre la porte à d'autres secteurs du marché comme aux applications de productivité et de suivi médical, qui se vendent plus cher que les jeux, car ils s'adressent à un marché professionnel.

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