Il faut parfois un côté obsessif, voire têtu pour transformer une bonne idée en démarche d'affaires qui réussit, selon M. Kelman.
«Ce que la plupart d'entre nous manquent, ce n'est pas notre propre conception de ce qui est bon ou mauvais, mais la conviction de pouvoir mener l'idée à bonne fin», soutient M. Kelman. «Et c'est une chose difficile à faire si vous êtes sensible à ce que les autres ressentent.»
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