S’il a dû mettre une croix sur un emploi permanent, M. Bélair y voit certains avantages, alors qu’il a maintenant 63 ans. « Fini pour moi les semaines de 60 heures et les embouteillages. Je suis libre de mes horaires et je rencontre beaucoup de gens. Cela me permet de me sentir utile. » Les contrats ne sont pas toujours faciles à dénicher, mais il ne baisse pas les bras pour autant. « C’est important de travailler pour continuer d’apprendre et garder le moral ! »
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