«Personne ne nous a fait une telle proposition. Je ne vois même pas comment quelqu’un a pu évoquer une telle chose», lance carrément Boris Aliochine, le président du premier constructeur automobile russe, AvtoVAZ, qui était supposé être ce fameux troisième partenaire.
M. Aliochine contredit ainsi de manière cinglante M. Gref, qui avait confié au quotidien italien La Stampa que l’opération d’acquisition du constructeur allemand Opel allait bon train, d’autant plus qu’un nouveau partenaire s’était ajouté, à savoir AvtoVAZ. Il avait même expliqué que l’intérêt d’AvtoVAZ était de rattraper le retard technologique qui l'a jusqu'ici empêché d'être concurrentiel au niveau mondial.
Un argument ridicule, selon M. Aliochine. «Nous avons déjà un partenaire pour cela, le français Renault», a-t-il souligné. Renault détient une minorité de blocage, 25% et une action, dans le capital de l’entreprise russe.
Sberbank, en partenariat avec l'équipementier Magna, a conclu le mois dernier un accord pour prendre une participation de contrôle dans Opel, que sa maison mère General Motors est contrainte de céder.
Selon cet accord, qui n’est pas encore final, Sberbank devrait entrer à hauteur de 35% dans le capital d'Opel, son idée étant de restructurer l'industrie automobile russe grâce à la technologie d'Opel.
Avec Reuters.
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