Dix-neuf d'entre elles ont déjà publié leurs documents boursiers et autres projets de levées de fonds, qui pourraient totaliser quelque 8,63 milliards de yuans (1,4 milliard de dollars).
À l’image du Nasdaq, le Chinext s’adressera aux entreprises chinoises ayant un bon potentiel de croissance, mais qui n'ont pas toujours accès au financement bancaire.
Selon le règlement annoncé il y a quelques mois, pour être cotées sur ce second marché, les sociétés doivent notamment avoir réalisé un bénéfice net d'au moins 10 millions de yuans (1,6 million de dollars) sur les deux années ayant précédé leur introduction, et avoir des actifs d'au moins 20 millions de yuans. Ces exigences sont un peu moins sévères que pour les autres Bourses chinoises, qui requièrent un bénéfice net de plus de 30 millions de yuans sur une période de trois ans.
Avec AFP.