AbitibiBowater vend des usines de recyclage

Publié le 06/01/2010 à 19:11, mis à jour le 27/02/2011 à 16:19

AbitibiBowater vend des usines de recyclage

Publié le 06/01/2010 à 19:11, mis à jour le 27/02/2011 à 16:19

AbitibiBowater vend à Waste Management Recycle America des usines de recyclage établies au Texas, à Arlington, Houston et San Antonio. La transaction est évaluée à 12 millions de dollars.

AbitibiBowater continuera d'exploiter ses programmes de recyclage à Arlington, Houston et San Antonio, ainsi que dans 20 autres importantes agglomérations en Amérique du Nord.

L'opération permet à AbitibiBowater de concentrer ses efforts sur son programme Paper Retriever(R), un programme de recyclage communautaire, ainsi sur l'initiative de recyclage EcoRewards(R), qui vise les clients commerciaux.

Dans le cadre de la vente, la division du recyclage de la Société a aussi conclu une entente par laquelle Waste Management Recycle America traitera les matières générées par les programmes Paper Retriever et EcoRewards à Arlington, Houston et San Antonio.

Ces opérations s'inscrivent dans les efforts de restructuration déployés par AbitibiBowater pour rationaliser ses activités et s'affranchir du régime de protection contre les créanciers.

«La vente de nos actifs du Texas nous permettra de réorienter nos efforts afin de pouvoir offrir nos services de recyclage à plus de clients dans plus de villes en Amérique du Nord, tout en encourageant l'utilisation et la récupération responsables du papier», a déclaré Sylvain Longval, vice-président, Recyclage Amérique du Nord pour AbitibiBowater.

À la une

Bourse: Wall Street ouvre en ordre dispersé après un record

Mis à jour il y a 15 minutes | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS.

L’Iran en deuil après la mort du président Raïssi dans un accident d’hélicoptère

08:15 | AFP

Le décès de M. Raïssi à 63 ans ouvre une période d’incertitude politique en Iran.

Le ras-le-bol fiscal des Québécois

EXPERT INVITÉ. À force de tenter de tout faire, l’État québécois en est venu à faire un peu de tout.