Le retour des biscuits Félix & Norton

Publié le 19/11/2010 à 00:00, mis à jour le 19/11/2010 à 13:29

Le retour des biscuits Félix & Norton

Publié le 19/11/2010 à 00:00, mis à jour le 19/11/2010 à 13:29

Un nouvel emballage, un logo remis au goût du jour tout en gardant les deux bonhommes d'antan, un site Internet renouvelé et une entente de distribution exclusive chez IGA partout au Québec d'une durée d'un an.

C'est la stratégie de Michael Eskenazi, alias Monsieur Félix, pour remettre sur la liste d'achats des Québécois ce qui a été un des succès du commerce de détail des années 1990. " Les choses ont beaucoup changé depuis 1985, lorsqu'on ne vendait que des biscuits dans des boutiques spécialisées. Il nous fallait un nouveau modèle d'entreprise ", explique l'entrepreneur de 55 ans.

Pour revoir l'image de Félix & Norton, M. Eskenazi a travaillé avec le designer de marque Jimmy Berthelet, de Stand Montréal.

La pâte à biscuits Félix & Norton surgelée et prête à cuire est progressivement mise en vente à 8,99 $ dans tous les IGA, les marchés Tradition et les marchés Bonichoix, soit dans plus de 350 épiceries. Elle est fabriquée par Nutrifrance, à Saint-Jean-sur-Richelieu.

" La seule chose qu'on n'a pas changé, c'est la recette. Ils sont chers, mais ils sont bons. C'est ce que les gens retiennent au sujet de nos biscuits. Nous n'offrons pas la même gamme que Pillsbury ", explique M. Eskenazi, président de Félix & Norton Licensing.

À la une

Filière batterie: le beau (gros) risque

Édition du 08 Mai 2024 | Dominique Talbot

Avec l’arrivée des géants de la batterie, Bécancour est au cœur du plus grand projet économique au Québec.

Pierre Fitzgibbon: «Dans la filière batterie, on est rendu trop loin pour reculer»

Édition du 08 Mai 2024 | Les Affaires

Le superministre a rencontré «Les Affaires» en table éditoriale afin de préciser sa vision de la filière batterie.

Table éditoriale avec le PDG de Northvolt: des batteries «made in Québec» avec du contenu d'ailleurs

En table éditoriale avec «Les Affaires», Paolo Cerruti affirme qu'il faudra être patient.