Les retards du CSeries n’auront pas d’impact sur les embauches de Bombardier

Publié le 07/11/2012 à 15:32, mis à jour le 07/11/2012 à 15:37

Les retards du CSeries n’auront pas d’impact sur les embauches de Bombardier

Publié le 07/11/2012 à 15:32, mis à jour le 07/11/2012 à 15:37

Retard ou non, le rythme d'embauche sera maintenu, soutient Bombardier.

Le retard confirmé du premier vol de l’avion CSeries aura peu, si non aucun impact, sur le programme d’embauche de Bombardier.

C’est du moins ce qu’a soutenu la multinationale montréalaise qui présentait aujourd’hui ses résultats financiers du troisième trimestre, avec un bénéfice en hausse de 10% par rapport à l’année dernière.

La direction a profité de l’occasion pour confirmer qu’elle ne parviendrait pas à respecter son échéance du 31 décembre 2012 et qu'elle devait repousser la réalisation de son premier vol d’essai d’ici la fin de juin 2013.

Qu’à cela ne tienne, selon Haley Dunne, porte-parole de Bombardier, «le programme d’embauche de l’entreprise demeure inchangé», qu’il y ait ou non retard de production.

Au 30 septembre dernier, le programme de développement et de fabrication du CSeries occupait 1 750 travailleurs dans les installations de Bombardier de Montréal et Mirabel.

Au plus forte de la production de l’appareil, prévu en 2017, Bombardier estime que 3 500 personnes travailleront à l'assemblage de la nouvelle famille d’avions dans la grande région de Montréal et que 800 autres feront de même dans son usine de Belfast, en Irlande du Nord.

À la une

Logistique: sale temps pour les entreprises

03/05/2024 | François Normand

ANALYSE. Depuis 2020, les crises se multiplient, et les travailleurs du CN et du CPKC pourraient bientôt être en grève.

Les travailleurs du CN et du CPKC se donnent un mandat de grève

Un arrêt de travail au CN et au CPKC simultanément pourrait perturber les chaînes d’approvisionnement.

Bourse: Wall Street salue l’accalmie de l’emploi américain

Mis à jour le 03/05/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. La Bourse de Toronto prenait plus de 100 points à la fermeture.