Immobilier: les prix continuent de grimper à Montréal

Publié le 10/11/2009 à 11:17

Immobilier: les prix continuent de grimper à Montréal

Publié le 10/11/2009 à 11:17

Par Denis Lalonde

L'immobilier a progressé de 6% en octobre dans le Grand Montréal. Photo: Benjamin Nantel

La valeur de l’immobilier continue de s’apprécier dans la région du Grand Montréal, avec un gain médian de 6% en octobre par rapport au même mois en 2008.

Le prix médian de l'unifamiliale a atteint 240 000 dollars, celui d'une copropriété, 195 000 dollars et celui des plex, 350 000 dollars, selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal.

L’organisme précise que les ventes de copropriétés ont mené le bal en octobre avec une hausse de 28% comparativement au mois correspondant il y a un an, alors que les ventes d'unifamiliales et de plex ont progressé respectivement de 23% et de 16%.

Au total, 3 543 propriétés ont changé de propriétaire en octobre, en hausse de 23% sur un an.

«En octobre 2008, malgré une baisse des ventes, le prix des propriétés était toujours à la hausse. Aujourd'hui, la situation n'a pas changé, les prix continuent d'augmenter, ce qui démontre que l'immobilier demeure un bon investissement dans la région», a déclaré le chef de la direction de la CIGM, Michel Beauséjour, dans un communiqué.

À Laval, le nombre de transactions a progressé de 35% sur un an. L'île de Montréal, la Rive-Sud et le secteur de Vaudreuil-Soulanges ont enregistré des hausses respectives de 24%, 21% et 51%.

Une ombre au tableau

Au 31 octobre, le nombre d'inscriptions en vigueur était toutefois en baisse de 10 % à 21 319 par rapport à la même date l'an dernier et le nombre de nouvelles inscriptions était en repli de 11% à 5 949.

À la une

Meta Platforms: prendre une grande respiration

Il y a 51 minutes | Jean Gagnon

BOUSSOLE BOURSIÈRE. Meta Platforms va dépenser des sommes énormes dans le développement de l'intelligence artificielle.

Je dois renouveler mon hypothèque: quelle stratégie adopter?

LE COURRIER DE SÉRAFIN. «L’option d’un taux fixe de 3 ans peut être un bon compromis par opposition au 5 ans fixe.»

Jusqu'à quel point faut-il être patient avec un titre perdant?

EXPERT INVITÉ. Je n'aime pas appliquer de recette toute faite.