Raymond James réitère une recommandation "surperformance".
Au deuxième trimestre, la société rapporte un bénéfice de 0,91$ par action, comparativement à un consensus à 0,93$.
Steven Li indique que les résultats ont souffert d'un jeu de devises défavorable et sont conformes aux attentes. Il fait remarquer que la croissance organique (sans tenir compte des acquisitions) continue d'augmenter. Elle a été de 4,4%, comparativement à 3,1% au trimestre précédent.
L'analyste souligne que d'autres noms du secteur voient plutôt pendant ce temps leur croissance ralentir.
Il dit par ailleurs s'attendre à ce que l'entreprise continue de redéployer ses importants flux de trésorerie dans de potentielles acquisitions, nouvelles initiatives et rachats d'actions, ce qui devrait lui permettre de maintenir une solide croissance des bénéfices (21% composé dans les cinq dernières années).
Monsieur Li dit particulièrement surveiller la réforme fiscale qu'a en mire le président Donald Trump aux États-Unis. Il calcule que l'abaissement du taux d'impôt fédéral de 35% à 15% pourrait ajouter 0,20$ par action au bénéfice de CGI.
L'anticipation de bénéfice 2017 (septembre) est ramenée de 3,74$ à 3,72$ par action, celle 2018 est maintenue à 3,97$.
La cible demeure à 72$.