Traçant un bilan de son activité là-bas, en entrevue, le ministre a affirmé mercredi n'y avoir senti ni blues ni morosité, seulement un vent d'inquiétude à cause des problèmes de financement qu'éprouvent plusieurs entreprises.
Il souligne que les banques sont encore très prudentes à cause de l'incertitude économique, pendant que les entreprises du secteur aéronautique ont besoin de fonds.
Et aux sceptiques qui affirment que ces salons ne donnent pas vraiment de résultats concrets, il assure le contraire. Il affirme qu'il y aura de bonnes nouvelles pour le Québec dans les prochaines semaines ou les deux ou trois prochains mois.