Que dire de plus sinon que l’attitude d’AIG à l’égard des bonis versés ou à verser à ses employés est indécente.
Il est bien certain que les employés ne devraient pas être les seuls à souffrir de l’avidité, de la rapacité et du goût démesuré pour le risque de leurs patrons mais, ils ne pourraient être les seuls à ne pas souffrir de leurs actions.
“Greed is Good”, disait Gordon Gekko dans le film Wall Street des années 80.
Dans “Wall Street 2”, bientôt sur nos écrans, Gekko ajoute: “Greed is not only good, now, it’s legal”…
Il me semble que l’indécence est revenue à l’ordre du jour.
C’est à méditer…
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Institut québécois d'éthique appliquée
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