Toutefois, les valeurs boursières sont plus susceptibles de bénéficier de l'élection de M. Romney, a-t-il ajouté.
"Ce serait moins pénible pour les banques de diversifier leurs sources de revenus, puisqu'il y aurait moins de réglementation. Elles seraient en mesure de revenir aux affaires comme ce l'était auparavant."
Finalement, les analystes peuvent faire des paris sur les scénarios probables, mais Fisher Investments note que même si la pensée conventionnelle suppose que les marchés boursiers se rallieront derrière une victoire de M. Romney et s'écrouleront avec une victoire de M. Obama, l'histoire suggère le contraire.
"Une leçon que nous avons apprise au fil des ans, et aussi dans notre recherche approfondie de l'histoire du marché, c'est que les scénarios probables se produisent rarement comme prévu, en particulier en ce qui concerne la politique et les marchés boursiers", souligne M. Adatia.