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La recette de croissance de la branche québécoise d’EY

Jean-François Venne|Édition de février 2020

La recette de croissance de la branche québécoise d’EY

Anne-Marie Hubert, associée directrice d'EY au Québec (Photo: courtoisie)

LES GRANDS DE LA COMPTABILITÉ. La croissance d’EY au Québec provient de la bonne tenue de certains secteurs d’affaires, comme les finances, le manufacturier et la fiscalité, mais aussi d’acquisitions et d’alliances stratégiques.

« Nos clients ont plus de pression que jamais pour se transformer, que ce soit pour prendre le virage numérique ou pour diminuer leur impact environnemental, souligne Anne-Marie Hubert, associée directrice d’EY au Québec. Pour nous, cela signifie qu’il y a plus d’occasions de faire une différence. »

En janvier 2019, EY lançait son nouveau Centre d’excellence pour les services en assurance et en actuariat à Québec et à Toronto, qui offre des services bilingues aux assureurs canadiens. Il les guide notamment quant aux nouvelles réglementations et à la transformation numérique. Une croissance relativement faible dans ce secteur oblige les entreprises à faire preuve d’imagination.

« Notre cabinet a une culture de coopération afin d’apporter plus de valeur à nos clients et à la société », affirme l’associée directrice. Pour elle, cela passe aussi par des initiatives comme la Coalition pour un capitalisme inclusif, à laquelle EY contribue. Le regroupement – qui inclue des géants comme BlackRock, Novartis et Nestlé – souhaite créer des outils pour intégrer dans la mesure de la valeur des entreprises des facteurs comme l’innovation, l’acceptabilité sociale et la gouvernance.