La hausse des ventes de logiciels au secours de BlackBerry

Publié le 23/06/2015 à 09:50

La hausse des ventes de logiciels au secours de BlackBerry

Publié le 23/06/2015 à 09:50

Par Denis Lalonde

(Photo: Bloomberg)

Le fabricant de téléphones intelligents BlackBerry compte de moins en moins sur ses appareils pour assurer son avenir.

Ce sont les ventes du secteur des logiciels qui ont retenu l’attention, elles qui ont bondi de 153% à 137 millions $US* durant le trimestre. À la période correspondante il y a un an, elles n’étaient que de 54 millions $.

Pour son premier trimestre terminé le 30 mai, la société ontarienne a fait état d’une perte nette de de 28 millions $, ou de 0,05$ par action, en excluant les éléments non récurrents. Il s’agit d’un résultat légèrement inférieur aux prévisions des analystes, qui tablaient en moyenne sur une perte nette de 0,04$, selon l’agence de presse financière Bloomberg

Au premier trimestre de l’exercice 2015, BlackBerry (TOR: BB) avait déclaré une perte nette de 60 millions $, ou de 0,11$ par action. 

Les revenus totaux du trimestre ont atteint 658 millions $, comparativement à 966 millions $ il y a un an.

Durant la période de trois mois, la société a vendu 1,1 million de téléphones intelligents.

Le titre de BlackBerry reculait de 0,71%, ou de 0,08$, à 11,24 dollars canadiens à la Bourse de Toronto à l’ouverture des marchés. 

* Tous les montants sont en dollars américains, sauf indication contraire.

À la une

C'est quoi, au juste, une «job de m...»?

Il y a 12 minutes | Olivier Schmouker

MAUDITE JOB! «Mon quotidien de caissier est carrément horrible. C'est moi, ou j'ai bel et bien une «job de m...»?

Il faut concentrer les investissements en R-D, dit le Conseil de l’innovation du Québec

24/04/2024 | Emmanuel Martinez

L’État devrait davantage concentrer les investissements en R-D dans certains secteurs, selon le Conseil de l’innovation.

Repreneuriat: des employés au rendez-vous

23/04/2024 | Emmanuel Martinez

REPRENEURIAT. Le taux de survie des coopératives est bien meilleur que celui des entreprises privées.