Le cabinet comptable KPMG a déterminé qu'une condition essentielle à la réalisation de la transaction, évaluée à 52 milliards $, n'a pas été rencontrée.
Selon le cabinet comptable, BCE refusait de passer un examen de la solvabilité, une condition indispensable à la réalisation du rachat du géant des télécommunications.
Échec de la vente de BCE
Publié le 11/12/2008 à 00:00
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