Livres électroniques: le fabricant canadien Kobo acquiert une société française

Publié le 11/10/2012 à 06:28, mis à jour le 18/10/2013 à 15:00

Livres électroniques: le fabricant canadien Kobo acquiert une société française

Publié le 11/10/2012 à 06:28, mis à jour le 18/10/2013 à 15:00

Par AFP

Le fabricant de liseuses et vendeur de livres électroniques canadien Kobo vient d'acquérir Aquafadas, société française créatrice d'un système de publication numérique, ont annoncé les deux entreprises dans un communiqué.

La start-up Aquafadas est l'éditeur d'un logiciel leader dans la publication numérique pour professionnels. Cet outil permettra à Kobo de distribuer des livres avec des contenus «enrichis», c'est-à-dire multimédias et interactifs.

Avec ce système, les éditeurs pourront désormais publier chez Kobo des livres numériques avec par exemple des vidéos ou diaporamas, et des journaux, bandes dessinées, magazines et livres pour enfants enrichis.

«Cette acquisition, a déclaré le président de Kobo Michael Serbinis, nous permet d'accélérer le service d'auto-édition de Kobo, et, grâce au système de publication numérique d'Aquafadas, d'offrir les outils nécessaires aux éditeurs pour produire facilement des contenus riches».

Pour Aquafadas, les éditeurs qui utilisent son système de publication numérique auront un canal de distribution supplémentaire avec Kobo, qui compte près de 10 millions d'utilisateurs dans 190 pays. Aquafadas aura aussi plus de moyens pour développer ses technologies.

À la une

Cynthia Hamel-Kropf: «Créer un mouvement de communauté»

Mis à jour il y a 1 minutes | lesaffaires.com

GÉNÉRATION D'IMPACT. Voici les visages de la deuxième cohorte d’intrapreneurs.

Honda construira son usine de batteries en Ontario

Il y a 31 minutes | La Presse Canadienne

Honda va construire une usine de batteries pour véhicules électriques à côté de son usine d’assemblage d’Alliston.

Northvolt: la technologie la plus performante et fiable, dit la Caisse de dépôt

Mis à jour le 24/04/2024 | La Presse Canadienne

La haute direction de la Caisse a ainsi justifié son investissement de 200 millions de dollars dans la société-mère.