La tournée des start-up et PME

Publié le 23/08/2018 à 14:30

La tournée des start-up et PME

Publié le 23/08/2018 à 14:30

Par lesaffaires.com

[Photo: 123rf]

Petit tour dans le milieu des jeunes pousses et autres petites ou moyennes entreprises qui font tourner l'économie.

Souscrire à une police d’assurance sans avoir à sortir de votre chez-vous, ça vous dirait ?

C’est ce que souhaite vous offrir la start-up Emma Service Financier, en collaboration avec MICA. « On utilise les nouvelles technos et on offre du conseil. On arrive avec une solution qui fait très 2018 », soutient le cofondateur de l’entreprise et président de MICA Cabinet de services financiers, Gino-Sébastian Savard dans un article de Finance et Investissement. Un algorithme vous permet, en vous posant quelques questions, de rapidement cerner vos besoins. Plus besoin de vous déplacer en succursale pour confirmer la transaction et obtenir une assurance vie, tout se fait exclusivement sur la plateforme web, contrairement à d’autres services déjà offerts en ligne. Pour éviter que vous ne souscriviez à une police qui ne correspond pas à vos besoins, un conseiller est accessible par clavardage sept jours sur sept.

Planifier un rendez-vous chez votre vétérinaire en quelques clics  

La deuxième version de Vetolib, un service de prise de rendez-vous médical pour votre animal de compagnie en France, sera bientôt en ligne, rapporte le magazine de l’innovation frenchweb.fr. Cette start-up est le fruit d’une collaboration entre la diplômée de Campbridge et de HEC Paris Adriana Massino et de l’ingénieur David Zerah. Les deux amoureux des animaux voulaient faciliter la connexion entre les praticiens et leurs patients. Aujourd’hui, ce sont les disponibilités de plus de 800 vétérinaires français qui sont accessibles sur le site, qui aspire à desservir un marché à l’international.

La Start-up School accueille plus de 15 000 nouveaux élèves par erreur

Faites-vous partie des 15 000 chanceux qui se sont dégoté une place dans la Start-up School de Y Combinator ? Ce programme qui permet habituellement à environ 3 000 jeunes pousses de suivre une formation en ligne gratuite en matière de gestion et de croissance d’entreprise aurait souffert d’un pépin de logiciel, confirmant à tous les candidats leur adhésion.

Le résultat ? Plus de 12 000 entrepreneurs ont reçu une seconde missive de Y Combinato en début de semaine les informant de la malencontreuse erreur. L’entreprise spécialisée en financement de startup, consciente de son « epic fail », les a contactés une troisième fois. « Nous ne pensions pas que la structure de la Start-up School aurait pu supporter autant de nouveaux élèves. […] Nous avons donc décidé d’utiliser notre erreur comme un tremplin pour trouver une manière de rendre ce service accessible à tous », apprenaient les candidats qui avaient été refusés.

Cependant, les entreprises ne profiteront pas toutes du même service : celles ayant été d’abord sélectionnées seront les seules à avoir accès aux conseillers de Y Combinators, révèle le Business Insider.

Un nouveau service d'autopartage bientôt au Québec? 

La start-up américaine Getaround, dans laquelle l’acteur Ashton Kutcher a déjà investi, vient de conclure une ronde de financement de 300 millions $ US, et c’est la branche japonaise SoftBank Group Corp qui y a le plus contribué. L’entreprise qui offre un service d’autopartage dans 66 villes chez nos voisins du Sud profitera de ces nouveaux fonds pour étendre son service dans le reste de l’Amérique du Nord et pour développer des partenariats avec des producteurs d’automobiles. Comme Ford Motor avant elle, Toyota aurait elle aussi investi dans cette entreprise apprend-on dans un article de Reuters. En 2017, ce sont 45 millions de dollars en nouveaux capitaux que Getaround a réussi à amasser.

La FCEI rappelle ses priorités aux principaux partis politiques

À l’occasion du début officiel de la campagne électorale, la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) a tenu à rappeler quelques grandes priorités en vue de favoriser la croissance des PME québécoises apprend-on dans un communiqué paru le 23 août. La FCEI a d’ailleurs des rencontres avec les chefs des quatre principaux partis cette semaine (PLQ, CAQ, PQ et QS), afin de leur remettre des lettres signées de la main de plus de 2 200 propriétaires de PME énonçant leurs priorités en vue de la campagne.

Elle souhaite notamment « redonner accès au taux d’imposition PME aux petites entreprises cumulant moins de 5500 heures travaillées », et que « le salaire minimum (ne soit pas augmenté) à 15 $/h (limiter plutôt les hausses à l’inflation).

NDLR: L'article «La tournée» reste un exercice de revue de presse. Les avis et opinions qui y sont rapportés ne reflètent pas nécessairement ceux et celles de la rédaction de Les Affaires.


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