La montréalaise s'apprête déjà à rencontrer des manufacturiers pour évaluer ce qui doit être adapté avant d'entamer la production, qui pourrait être lancée dès le printemps prochain. Afin de garder la mainmise sur le contrôle de la qualité et parce que «nous avons, ici, le savoir-faire nécessaire dans le domaine du textile intelligent», affirme Mazen Elbawab, les usines locales seront privilégiées.
D'ici là, l'entreprise amorcera sa première ronde de financement. «Nous sommes déjà une vingtaine dans l'équipe, ça se passe assez rapidement», conclut-il.
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