D'abord, une parenthèse. Tous les secteurs de toutes les industries offrent des occasions d'affaires. Même celles qui sont apparemment en déclin. «Il faut se montrer prudent avec la notion de porteur, nous met en garde Jean-Benoît Grégoire, directeur principal, marché PME, produits entreprises et international à la Banque Nationale. Couche-Tard, par exemple, a réussi avec des dépanneurs... Alors que les perspectives n'étaient pas très bonnes.»
«Comme tel, il n'y a pas de limites ; ça dépend de ce qu'on propose», explique Joëlle Noreau, économiste principale du Mouvement Desjardins.
Bien sûr, la teneur de l'innovation est capitale. Cependant, puisqu'il est ici question de démarrage d'entreprises, certains critères sont impératifs dans le processus de détermination des secteurs propices au démarrage en affaires. Le coût d'entrée, par exemple, doit être modéré. D'emblée, la pharmaceutique ou les industries lourdes sont donc écartées.
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