Le projet de 24 milliards $ est bloqué depuis la fin de l'an dernier.
Le plus de travailleurs possible ont été affectés à d'autres projets, mais certains ont dû être licenciés en raison du manque de travail, a affirmé Mme Stevens.
La situation actuelle est largement différente de celle de l'an dernier, alors que Petro-Canada cherchait à recruter de la main-d'oeuvre en plein boom économique, a-t-elle observé.
Les mises à pied annoncées mercredi ne sont aucunement liées à la fusion à venir avec Suncor, a assuré Mme Stevens.
Le cours des actions de Petro-Canada a clôturé mercredi à 37,31 $, en baisse de 39 cents, à la Bourse de Toronto.