Logo - Les Affaires
Logo - Les Affaires

WeWork cherche à quitter certains espaces locatifs au Canada

La Presse Canadienne|Publié le 07 novembre 2023

WeWork cherche à quitter certains espaces locatifs au Canada

Les sites WeWork en dehors des États-Unis et du Canada ne seront pas affectés par la procédure, a précisé la société, ainsi que les franchisés du monde entier. (Photo: 123RF)

TORONTO — WeWork cherche à résilier rapidement plusieurs baux canadiens dans le cadre d’une procédure de faillite de l’entreprise spécialisée dans les espaces de travail partagés. 
Des documents déposés au tribunal montrent que l’entreprise cherche à se retirer de deux baux à Toronto, deux à Vancouver et un à Burnaby, en Colombie-Britannique, dans le cadre de ses efforts visant à assainir son bilan.
Les cinq sites canadiens ne représentent qu’une petite partie des 69 baux au total pour lesquels elle a demandé l’autorisation de se retirer plus tôt, la plupart étant situés à New York. 
WeWork a déclaré lundi soir, dans une annonce, qu’elle avait conclu un accord avec la majorité de ses parties prenantes pour «réduire considérablement» sa dette, alors qu’elle s’efforce de réduire son portefeuille de baux de bureaux commerciaux. 
Elle a déposé une demande de protection en vertu du chapitre 11 de la loi sur les faillites auprès du tribunal de district américain du New Jersey, et prévoit également d’engager une procédure de reconnaissance au Canada, selon l’annonce de lundi. 
Les sites WeWork en dehors des États-Unis et du Canada ne seront pas affectés par la procédure, a précisé la société, ainsi que les franchisés du monde entier. 
La Presse Canadienne

Toronto — WeWork cherche à résilier rapidement plusieurs baux canadiens dans le cadre d’une procédure de faillite de l’entreprise spécialisée dans les espaces de travail partagés. 

Des documents déposés au tribunal montrent que l’entreprise cherche à se retirer de deux baux à Toronto, deux à Vancouver et un à Burnaby, en Colombie-Britannique, dans le cadre de ses efforts visant à assainir son bilan.

Les cinq sites canadiens ne représentent qu’une petite partie des 69 baux au total pour lesquels elle a demandé l’autorisation de se retirer plus tôt, la plupart étant situés à New York. 

WeWork a déclaré lundi soir, dans une annonce, qu’elle avait conclu un accord avec la majorité de ses parties prenantes pour «réduire considérablement» sa dette, alors qu’elle s’efforce de réduire son portefeuille de baux de bureaux commerciaux. 

Elle a déposé une demande de protection en vertu du chapitre 11 de la loi sur les faillites auprès du tribunal de district américain du New Jersey, et prévoit également d’engager une procédure de reconnaissance au Canada, selon l’annonce de lundi. 

Les sites WeWork en dehors des États-Unis et du Canada ne seront pas affectés par la procédure, a précisé la société, ainsi que les franchisés du monde entier.