(Photo: Josée Lecompte)
Depuis 2015, l’entrepreneur Nicolas Duvernois partage avec les lecteurs de Les Affaires sa vision sur le monde des PME. Nous avons recensé ses 10 billets d’opinion les plus lus en 2023 pour revivre l’année à travers son regard. Bonne lecture,
10 – L’art de s’auto-motiver!
On va se le dire, ce n’est pas toujours facile de se motiver face à une tâche, quelle qu’elle soit. Remise en forme, changement d’habitude, préparation pour un évènement sportif… Rares sont ceux qui se lèvent le matin avec la profonde envie d’aller courir quelques kilomètres un matin glacial de février, ou ceux qui tard le soir, ont envie de se plonger dans les études après une journée de travail et un «deuxième shift» familial qui aurait épuisé le peu d’énergie restant en nous.
C’est la même chose en affaires.
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SUIVANT – Numéro 9: Une image de marque, c’est plus qu’un logo!
9 – Une image de marque, c’est plus qu’un logo!
ENFIN ! Après presque trois ans de remise en question, d’analyse de marché, de discussions avec les clients, les partenaires, les amis, après d’innombrables tests, d’ébauches, de questionnements, de retour à la case départ… on a enfin dévoilé il y a quelques jours la nouvelle image de marque de BockAle !
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SUIVANT – Numéro 8: 2023: Ça passe ou ça casse!
8 – 2023: Ça passe ou ça casse!
Tristement, mais réalistement, c’est avec ce titre que j’ai décidé de débuter l’année 2023. Après bientôt trois éternelles années pandémiques et une année 2022 qui nous en a fait voir de toutes les couleurs, je n’ai d’autres choix que d’appréhender 2023, comme un orignal mature au tout début de la période de chasse!
Redécouvrez ici comment l’entrepreneur entrevoyait son année.
SUIVANT – Numéro 7: Ralentissement économique ou occasion d’affaires?
7 – Ralentissement économique ou occasion d’affaires?
Le nuage du ralentissement économique plane au-dessus de nos têtes depuis un bon moment déjà. Encore embourbés dans une pandémie qui n’en finit plus de finir, voilà que nous suivons avec attention chaque soubresaut boursier, chaque annonce des banques centrales et chaque décision prise par les plus grandes multinationales afin de savoir si 2023 sera une année de relance ou de recul.
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SUIVANT – Numéro 6: Mes trois plus grands regrets
6 – Mes trois plus grands regrets
J’ai le privilège de donner plusieurs conférences par année et souvent, très souvent, à la fin, on m’y pose les mêmes questions. Je dois vous avouer, avec le plus grand des respects, que j’aimerais tellement que l’on me pose des questions qui font plus «mal», des questions qui me rappellent les moments les plus intenses de mon parcours.
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SUIVANT – Numéro 5: Il faut s’inspirer de l’Université de Moncton!
5 – Il faut s’inspirer de l’Université de Moncton!
J’ai eu la chance dernièrement d’être le conférencier d’honneur du 54e banquet de la faculté d’administration de l’Université de Moncton. Plus grande université canadienne exclusivement francophone à l’extérieur du Québec, j’avais toujours entendu beaucoup de bien de cette institution et j’étais donc curieux d’en connaître un peu plus.
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SUIVANT – Numéro 4: Nous avons tous besoin d’un break!
4 – Nous avons tous besoin d’un break!
Le constat ne peut pas être plus clair. Nous sommes une société fatiguée, stressée, à la recherche de moments où l’on peut, ne serait-ce que pour un court moment, tout arrêter afin de se reposer.
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SUIVANT – Numéro 3: 3 raisons du succès de l’application Threads
3 – 3 raisons du succès de l’application Threads
Seulement 5 jours ont suffi au nouveau réseau social Threads afin d’atteindre les 100 millions d’abonnés. Parallèlement, ça fait également 5 jours qu’Elon Musk, l’homme derrière Tesla et SpaceX, entre autres, attaque sur tous les fronts Mark Zuckerberg, le grand patron de Meta, la maison mère de Threads.
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SUIVANT – Numéro 2: Leçons de courage de Juliette & Chocolat
2 – Leçons de courage de Juliette & Chocolat
Il va sans dire, l’industrie de la restauration aura été frappée de plein fouet par les conséquences des fermetures obligatoires reliées à la pandémie. Sans une aide gouvernementale d’urgence, l’immense majorité d’entre eux auraient abdiqué et fermé leurs portes.
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SUIVANT – Numéro 1: La mort de la carte d’affaires
1 – La mort de la carte d’affaires
L’ancêtre de la carte d’affaires aurait vu le jour au XVe siècle en Chine. On la nommait alors «carte de visite», car elle était utilisée pour annoncer la visite d’un notable. Elle serait ensuite apparue en Europe au XVIIe siècle, où elle était pour les aristocrates une manière de se présenter et de se démarquer grâce à la qualité du papier, la calligraphie utilisée ou même le type de gravure ajouté.
