La publicité accuse le constructeur automobile d’être glouton et non-canadien.
L'industrie du taxi aurait avantage à récupérer les 220 véhicules électriques de la flotte de Téo Taxi, dit-il.
«L’erreur aurait été de ne pas essayer», dit le PDG par intérim Dominic Bécotte.
Téo Taxi a décidé de mettre fin à ses activités.
Pour un montant symbolique, l’avionneur mettra la main sur la chaîne de production de l’entreprise américaine.
La fréquence de recharge des véhicules électriques et les salaires notamment assombrissent les finances.
L'embargo mis en place par le CN et Canadien Pacifique pointé du doigt s'est échelonné de novembre à décembre.
«Les batteries sont les éléments les plus importants dans l'électrification des véhicules.»