Les brèves automobiles


Édition du 06 Juin 2015

Les brèves automobiles


Édition du 06 Juin 2015

La Mazda 2 se retire des États-Unis

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La sous-compacte Mazda2 ne sera pas offerte aux États-Unis dans sa nouvelle version. L’annonce a été faite par Robert Davis, un des porte-parole du constructeur, lors d’une entrevue avec les médias américains. Selon M. Davis, la présence de la petite Mazda2 nécessiterait des ressources qu’il préfère affecter à un modèle plus rentable. La décision surprend d’autant plus que la petite voiture partage sa plateforme avec la Scion iA, confirmée pour le marché américain, et la Toyota Yaris, commercialisée au Canada. Tous ces véhicules seront assemblés dans la même usine mexicaine.

Pour le moment, rien n’indique que la nouvelle Mazda2 ne sera pas vendue au Canada. Elle avait fait l’objet d’une présentation publique au Salon de l’auto de Montréal, mais Mazda avait par la suite confirmé son désir de reporter le lancement de la petite auto.

Fiat Chrysler cherche un partenaire

Le 9 mai dernier, lors de son passage au Canada, le président de Fiat Chrysler, Sergio Marchionne, a déclaré avoir été en pourparlers avec les dirigeants de Tesla et d’Apple pour un éventuel partenariat. Rien n’a cependant été confirmé. Il semble toutefois que M. Marchionne n’ait pas pour le moment abandonné l’idée d’une fusion, puisqu’il a demandé à rencontrer les dirigeants de General Motors (GM) à ce sujet. La présidente de GM, Mary Barra, a toutefois confirmé n’avoir aucune intention de s’associer à Fiat Chrysler Automobiles (FCA) et désire poursuivre son chemin seule. Ce n’est pas la première fois que le pdg de FCA confesse son intention de se joindre à un autre constructeur pour créer une mégaentreprise. Il a d’ailleurs affirmé publiquement en avril qu’il rêvait de diminuer le nombre d’acteurs dans le monde automobile moderne afin d’accroître la rentabilité des entreprises. Les analystes estiment toutefois que cette volonté est surtout liée à l’objectif de raffermir la rentabilité de sa propre entreprise, qui affiche une des dettes les plus élevées du monde automobile européen et qui aura besoin de nouveaux investissements pour relancer la marque Alfa Romeo. 

Le groupe Albi progresse

Denis Leclerc, président du groupe Albi le géant, avait affirmé vouloir atteindre le milliard de chiffres d’affaires d’ici 2020, lors d’une entrevue publiée l’an dernier dans Les Affaires. Il semble bien qu’il soit en voie d’y parvenir, lui qui repousse les frontières de son groupe en procédant à de multiples acquisitions. L’entreprise, dont le siège social est établi à Mascouche, vient en effet de se porter acquéreur de deux nouvelles concessions, une division Hyundai à Châteauguay (soit une troisième en Montérégie), et une division GM à Laval, une première percée dans cette enseigne pour le groupe.

Grâce à ces deux nouvelles acquisitions, le groupe Albi le géant est désormais propriétaire de 21 concessions automobiles et emploie plus de 1 100 personnes.

Jeep ramène les constructeurs américains à Tokyo

Pour la première fois depuis plus d’une décennie, les constructeurs américains seront de retour au Salon de l’auto de Tokyo, qui se tiendra à la fin de novembre 2015. C’est la marque Jeep, reconnue comme l’enseigne automobile nord-américaine la plus connue mondialement selon J. D. Power, qui agira comme ambassadrice. Au total, huit modèles Jeep devraient être exposés au salon nippon. Il faut dire que les ventes japonaises du constructeur vont bien, Jeep se classant au premier rang des constructeurs américains au chapitre des ventes au Japon. Outre les constructeurs japonais, plusieurs sociétés européennes ont aussi confirmé leur présence à Tokyo : Audi, BMW, Mini, Citroën, DS, Fiat, Alfa Romeo, Abarth, Jaguar, Land Rover, Mercedes-Benz, Smart, Peugeot, Porsche, Renault et Volkswagen. Pour le moment, aucun autre constructeur n’a manifesté son désir de s’inscrire.

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