M. Arseneault a indiqué qu'une commission indépendante a été chargée d'étudier les possibilités de continuer de faire croître le salaire minimum en dépit de l'instabilité financière actuelle. Cette réflexion s'inscrit dans le plan de réduction de la pauvreté au Nouveau-Brunswick. Ces travaux seront dirigés par la Commission du salaire minimum et devraient conduire à l'élaboration d'un programme à long terme, qui fixera à l'avance les augmentations.
La province estime qu'un tel programme permettra aux travailleurs et aux employeurs de prévoir les changements qui affecteront la rémunération.