Sur les marchés, cela se traduirait par de nouveaux mouvements de baisses pour les indices boursiers ainsi que pour les obligations émises par les financières. De plus, on verrait aussi un mouvement de baisse sur les matières premières et sur les devises associées aux matières premières. Les titres qui prendraient de la valeur seraient les obligations de l’État.
La Réserve fédérale serait, pour sa part, contrainte de continuer à injecter des liquidités dans les marchés monétaires pour contrer une hausse des taux d’intérêts interbancaires. Et ce, même si elle maintient son taux directeur à 2%.
Toutefois, le scénario que décrit l’économiste est, à ses yeux, très improbable. «Si rien n’est fait, les deux camps seront confrontés à la colère du public à la vue de la détérioration rapide de la conjoncture économique et financière ».
Ainsi, accorde-t-il de meilleures chances à l’adoption de ce plan qu’à son rejet.