Dividendes des banques : les risques ne sont pas nuls

Publié le 13/02/2009 à 00:00

Dividendes des banques : les risques ne sont pas nuls

Publié le 13/02/2009 à 00:00

Par La Presse Canadienne
Toutefois, le risque de voir leur valeur diminuer n'est pas nul, a ajouté Peter Rozenberg, l'analyste qui a rédigé le rapport.

M. Rozenberg a calculé que le rendement moyen des dividendes des grandes banques canadiennes _ les dividendes annualisés par rapport au cours des actions _ si situait à 6,8 pour cent, un sommet des dernières 25 années.

En comparaison, ce taux se situait à 7 pour cent en 1984, mais à cette époque, les rendements des obligations gouvernementales se situaient à 16 pour cent, par rapport à moins de trois pour cent aujourd'hui.

Selon l'analyste d'UBS Securities, la Banque TD est l'institution bancaire la moins susceptible de diminuer ses dividendes, alors que la Banque de Montréal est la plus à risque de le faire.

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