Réactions à la Politique économique: de bonnes idées... à peaufiner

Publié le 07/10/2013 à 19:58, mis à jour le 07/10/2013 à 20:01

Réactions à la Politique économique: de bonnes idées... à peaufiner

Publié le 07/10/2013 à 19:58, mis à jour le 07/10/2013 à 20:01

Le chef de la CAQ, François Legault. Photo: LesAffaires.com.

La Politique économique qu’a déposée lundi le ministre des Finances Nicolas Marceau a reçu un accueil plutôt positif. Mais l’absence de détails quant à la mise en œuvre des nombreuses propositions contenues dans ses quelque 160 pages viennent modérer l’enthousiasme.

Le chef de la Coalition Avenir Québec (CAQ) François Legault qualifie le plan économique péquiste d’un «ramassis de bonnes idées» qui a le défaut d’être un «budget avec seulement des dépenses, et aucune colonne de revenus». «On engage des dépenses de 1,3 G$ sans donner aucune indication quant à savoir d’où viendra l’argent», déplore-t-il.

«On annonce une tonne de nouveaux programmes, qui vont coûter des centaines de millions, sans faire le ménage des crédits qui existent et qui ne fonctionnent pas. On ne fait pas de ménage et on ne nous dit pas comment on va financer ça», déplore François Legault.

Et ce, alors que la dette est déjà importante.

Chez les libéraux, on «ne veut pas d’une politique de marketing économique électoraliste», ont déclaré les critiques Pierre Paradis et Sam Hamad par voie de communiqué. Ils demandent «au gouvernement de mettre en place des mesures concrètes et ciblées qui vont stimuler l'emploi et relancer l'économie sans compromettre l'équilibre budgétaire».

«Un bel emballage»

À la une

Repreneuriat: des employés au rendez-vous

REPRENEURIAT. Le taux de survie des coopératives est bien meilleur que celui des entreprises privées.

La hausse de l'impôt sur le gain en capital rapporterait 1G$, selon Girard

Mis à jour à 13:47 | La Presse Canadienne

C’est ce qu’a indiqué le ministre des Finances, Eric Girard, mardi en commission parlementaire.

Gains en capital: l'AMC demande au gouvernement de reconsidérer les changements

L’augmentation du taux d’inclusion s’appliquerait aux gains en capital supérieurs à 250 000 $ pour les particuliers.