« Malgré les efforts de l’équipe de direction (…) l’entreprise a continué d’afficher de faibles ventes et une augmentation de ses pertes », rapporte le syndic.
De plus, entre 2008 et 2010, les documents de PricewaterhouseCoopers indiquent que l’actionnaire (présumément Joseph Basmaji) a avancé 65,8 M$ à Boutique Jacob en retour d’une garantie universelle sur les actifs de la société.
Optimisme
Jacob demeure néanmoins confiant de réussir sa restructuration. « On veut préserver un maximum d’employés », confie Cristelle Basmaji, précisant que le but n’était pas de trouver un acquéreur pour la chaîne de magasins. Il s’agit tout de même d’une des options envisagées, au même titre que la recherche de nouveaux actionnaires investisseurs.
« Nous sommes confiants que nous prendrons les bonnes décisions et que nous sortirons plus forts de tout ça. Nous sommes confiants d’être en affaires pour encore au moins 33 ans. »
« Mon père tient à Jacob, aux employés. C’est son 2e bébé. Il va tout faire pour sauver l’entreprise. »